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Lorsque la mobilité accélère la bêtise humaine!

Bon, il faut le dire, la pluie fait pousser aussi bien les tomates que la mauvaise herbe, même si les téléphones intelligents sont utiles, il faut avoir de la jugeote pour s'en servir à bon escient.

Tout est affaire de connexions : à nous de faire les bonnes!

Bref! La sphère sociale virtuelle a créé des lâches émotifs, même trop lâches pour prendre le téléphone et parler, ou se déplacer pour avoir une franche discussion avec l'autre. En prime, elle a permis à d'autres de tisser des liens, et de les entretenir avec un plaisir renouvelé, un nirvana vertueux de plaisirs virtuels, mais bien réels.

Le monde dans mon clavier: la nouvelle vie de citoyen planétaire!

Mais ce monde déjà clivé entre riches, et pauvres, connectés, et déconnectés, ne pourra pas créer deux catégories de citoyens. Il faudra bien réaliser qu'il faut boire et manger, et ensuite se connecter.

À chacun sa réalité augmentée: quelle est la vôtre?

Impossible de résister à l'envie de parler de la réalité augmentée, en cette date historique de la sortie grand public aux É.-U. des lunettes Google, ou les Google Glass. Ce qui me turlupine, c'est la priorité des actions que nous prenons dans cette quête d'augmenter les capacités de nous, pauvres humains limités.

Entre la tyrannie de Facebook et Google, une nouvelle maladie est née : la nomophobie!

Vous avez peut-être entendu parler de la nomophobie (no mobile phobia) ou cette peur d'être privé de son téléphone mobile? Sinon, je peux vous dire que cela fait un moment que j'en parle, sans pour autant lui avoir donné un nom officiel.